Historique

Historique

Du passé au présent, vers le futur

Le Centre Scolaire Notre-Dame est issu de l’union de l’école et du collège Notre-Dame du Mas avec le lycée technologique et professionnel Notre-Dame.
Ces deux établissements ont une histoire propre que nous vous proposons de découvrir dans ces pages. Depuis le 1er mars 2007, ils écrivent ensemble celle du Centre Scolaire Notre-Dame.
Ces pages vont s’enrichir au fil du temps, alors n’hésitez pas à nous contacter si vous possédez des informations ou des documents pouvant les compléter.

Notre Dame du Mas

  • 18 octobre 1824, fondation d’une communauté
  • 1868, au village, construction d’une maison par les Sœurs (terrain de madame Elvion)
  • Juillet 1904, fermeture de l’école, la maison louée puis vendue. Le pensionnat et l’école sont transférés dans l’ancien local des Frères expulsés
  • Octobre 1904, la rentrée se fait avec une directrice laïque et deux adjointes religieuses
  • 1910, une Sœur reprend la direction
  • 1913-1915, le bail de cet immeuble est échu et « on » s’oppose à son renouvellement. L’immeuble est mis en vente.
    Le Curé Brulas le rachète et un peu plus tard et y installera une école de garçons.
    Les Religieuses changent de local et occupent un immeuble sur la route d’Oingt offert par monsieur de Lacretelle. On y installe deux classes de primaire, une classe enfantine, deux dortoirs ainsi qu’un réfectoire.
    Monseigneur Lavallée, ami de du Curé de la paroisse, bénit la maison.
    L’institution prend le nom de « Notre-Dame du Mas ».
  • 1916-1920, création d’un cours pour le Brevet élémentaire et d’un cours de musique (formation des organistes paroissiaux et ruraux)
  • 1921, création d’un cercle d’études féminines (40 personnes)
  • 1934, deux classes supplémentaires sont construites
  • 1935, le départ d’un locataire à l’arrière de la maison permet l’agrandissement du dortoir et l’établissement d’une chapelle
  • 1940, les classes sont fermées en mai puis ré ouvertes pour accueillir des enfants évacués de Lyon, ce qui évite l’hébergement de troupes allemandes
  • 1954, distribution des prix commune aux deux pensionnats
  • 1956, la chapelle est rénovée
  • 1979, départ de la communauté des Sœurs
  • 2007, l’école et le collège Notre-Dame du Mas s’unissent avec le lycée Notre-Dame

Saint Nicolas

    • 27 septembre 1904, les bâtiments situés au bourg de Denicé ont été légués par une grand-tante de messieurs Paul et Louis de Talancé, propriétaires à Denicé, à la Congrégation des Sœurs de St-Joseph.
      Signature d’un bail de 9 ans entre la Congrégation des Sœurs de St-Joseph et M. de Cotton pour lesdits bâtiments
    • 2 octobre 1904, signature des statuts de l’Union Scolaire des Pères et Mères de Denicé, pour la fondation et l’entretien d’une école primaire de filles avec classes enfantines, et ultérieurement, si c’est possible, d’une école primaire de garçons.
      M. Louchet en est le Président et M. Jacques de Cotton en est le Trésorier
    • 21 mars 1906, sur décision du tribunal civil de Lyon, les frères de Talancé qui ont revendiqué et obtenu la propriété de l’immeuble légué par leur grand-tante aux Sœurs de St-Joseph consentent à compter du 11 novembre 1906 un bail de 18 ans à l’Union Scolaire des Pères et Mères de Denicé
    • 25 août 1924, le bail est renouvelé pour 9 ans. Paul de Talancé est le propriétaire des bâtiments ayant racheté à son frère Louis sa part de ces derniers
    • 1933, Paul de Talancé cède à l’Union Scolaire des Pères et Mères de Denicé, les bâtiments situés place de l’Eglise
    • 11 juillet 1948, l’Union Scolaire des Pères et Mères de Denicé prend le nom de Association d’Éducation Populaire A.E.P.) avec de nouveaux statuts
    • 16 août 1956, déclaration de création d’une école privée Saint-Nicolas. Il s’agit d’une école de filles.
    • 6 décembre 1957, l’AEP acquiert un ensemble immobilier situé lieu dit « Château Gaillard » pour 67a 75ca au prix de 1 200 000 Fr
    • 1958, le Trésorier de l’AEP, M. Cuchet, récolte des dons afin d’aménager dans la bâtisse un local pour les représentations théâtrales
    • 23 septembre 1987, l’AEP prend le nom d’Organisme de Gestion de l’Enseignement Catholique (O.G.E.C.) et met ses statuts en conformité avec ceux de l’Enseignement Catholique
    • 2011, l’école Saint-Nicolas rejoint le Centre Scolaire Notre-Dame.

A l’origine, l’établissement Notre-Dame était un collège de filles avec internat, sous la tutelle de la Congrégation des Religieuses de Jésus-Marie fondée en 1818 par Claudine Thévenet.
Sœur Monique Boizet, religieuse de Jésus-Marie
Après une quinzaine d’années passées à l’Institution Jésus-Marie de Neufchâteau dans les Vosges, Sœur Monique Boizet devient Supérieure de cette dernière.
Elle n’occupe ce poste qu’un an car en 1975, Sœur Monique Boizet, en religion Sœur Marie Vincent de Paul, est nommée Supérieure et Directrice du collège Notre-Dame de Villefranche sur Saône dans le Rhône. Une partie importante de notre histoire récente s’est écrite sous sa direction.
Sœur Monique Boizet quitte notre établissement en 1990, pour Remiremont dans les Vosges où elle restera cinq années avant de partir en Roumanie.
En 2000, Sœur Monique Boizet est nommée Supérieure de la maison de retraite des religieuses de la province de France à Lyon.
Elle occupe ce poste jusqu’à son décès, le 7 mars 2004.

Notre Histoire…

  • 1804, la Congrégation des Religieuses de Saint-Charles s’installe dans un premier bâtiment qui n’existe plus aujourd’hui et qui se situait vers notre entrée sur la place des Marais.
  • 1833, construction d’une partie des bâtiments actuels.
  • 1901, le 1er juillet, vote de la loi de Waldeck-Rousseau sur les associations, qui restreint le droit des congrégations (art. 13 et 16).
  • 1902, le 27 juin, le président du Conseil Emile Combes décrète la fermeture des écoles religieuses n’ayant pas fait l’objet d’une autorisation.
    Les Religieuses de Saint-Charles ne sont pas expulsées car elles gèrent un orphelinat.
  • 1934, rétrocession à titre gratuit des bâtiments à la Congrégation des Religieuses de Saint-Charles, par mademoiselle Antoinette Pupier de Montagny (Loire) qui les avait acquis pour le compte et au moyen des deniers de ladite congrégation, le 12 décembre 1894.
  • 1953, départ des Religieuses de Saint-Charles et arrivée des Religieuses de Saint-Aignan.
  • 1965, les Religieuses de Saint-Aignan quittent l’institution Notre-Dame.
    La Congrégation des Religieuses de Jésus-Marie voyant sa maison fondatrice de Lyon-Fourvière transformée en foyer d’étudiantes, arrive à Villefranche afin de conserver l’œuvre proprement éducative de Sainte Claudine Thévenet.
    Mère Saint-Pierre-Marie prend la direction du collège de filles.
    L’institution Notre-Dame est alors un pensionnat de 348 petites filles « modèles » (jardin d’enfants, cycle primaire complet, secondaire sauf philosophie).
  • 1968, Création du collège d’enseignement supérieur (CES). (328 élèves)
  • 1975, Sœur Monique Boizet prend la direction du collège de filles. (366 élèves)
  • 1978, l’école primaire de Villefranche s/S dont la plupart des élèves rejoignent les effectifs du collège, est rattachée à Notre-Dame de Mongré.
    En regard de cette situation et constatant l’absence d’enseignement technique sur le Beaujolais et le Val de Saône, Sœur Monique Boizet décide de transformer le collège en établissement d’enseignement technique, pour en assurer la pérennité.
    L’établissement sera désormais mixte. Le Lycée Technique vient de naître.
    Pour démarrer ce nouvel enseignement, les Cours de sténographie Tourneux sont rachetés (madame Tourneux, ancienne propriétaire, enseignera dans l’établissement), ainsi qu’une quarantaine de machines à écrire d’occasion.
  • 1979, fermeture de l’internat, la Congrégation des Religieuses de Jésus-Marie s’installe à l’extérieur. (370 élèves)
  • 1982, les dernières classes de collège ferment. (425 élèves)
  • 1986, 900 m2 appartenant à l’ancienne usine Dubure sont acquis. (431 élèves)
  • 1988, création dans les locaux de l’usine Dubure, du gymnase au rez-de-chaussée et de cinq grandes salles de bureautique au premier étage. (477 élèves)
    10ème anniversaire du lycée technique.
    Le Cardinal Albert Decourtray avec les élèves de TG3 en 1988
  • 1990, 1100 nouveaux m2 de l’usine Dubure sont achetés.
    Sœur Monique Boizet quitte la direction, le premier chef d’établissement laïc est nommé. La tutelle devient diocésaine. (569 élèves)
  • 1991, ouverture du premier BTS. (630 élèves)
  • 1993, aménagement du restaurant scolaire. (674 élèves)
  • 1994, réfection des toitures et façades du bâtiment Saint-Charles. (640 élèves)
  • 1996, création du Centre de formation. (680 élèves)
  • 1997, aménagement des cours intérieures et réfection du préfabriqué. (672 élèves)
  • 1998, création d’un nouveau CDI à la place du grand garage situé dans l’ancienne usine Dubure et rénovation de la chapelle avec mise en place des vitraux créés par Robert-Louis Carron.
    20ème anniversaire du lycée technique. (674 élèves)
  • 1999, acquisition d’un restaurant sis rue des Fayettes, jouxtant le CDI, ainsi que de trois places de parking situées dans la cour de l’ancienne usine Dubure. (660 élèves)
  • 2004, le bâtiment Saint-Charles, encore sous commodat, est racheté à la Congrégation des Religieuses de Saint-Charles. Nous sommes désormais propriétaire de l’ensemble des tènements immobiliers utilisés. (678 élèves)
  • 2005, un nouvel agrandissement est en projet, le rez-de-chaussée de l’immeuble « France Télécom » sis Place des Marais est acquis (450 m2). (711 élèves + 7 au Centre de formation)
  • 2007, le lycée technologique et professionnel Notre-Dame intègre à ses structures existantes, l’école et le collège Notre-Dame du Mas et devient le Centre Scolaire Notre-Dame. (954 élèves + 25 au Centre de formation)
  • 2009, mis en service une première fois pour la rentrée 2008, les locaux du rez-de-chaussée de l’immeuble « France Télécom » sis Place des Marais sont dévastés par une inondation en novembre 2008. Après une une remise en état complète, ils sont à nouveau ouvert pour la rentrée 2009 au bénéfice de la filière « Carrières sanitaires et sociales ». Inauguration et baptême le Samedi 6 février 2010 « Espace Sœur Boizet ». (943 élèves + 33 au Centre de formation)
  • 2010, acquisition le 16 décembre 2010 d’un tènement immobilier qui nous jouxte à l’Est, pour une surface au sol d’environ 440 m2 (SHON ± 1000 m2). (994 élèves + 46 au Centre de formation)
  • 2011, le CSND intègre à ses structures, l’école primaire Saint-Nicolas de Denicé dans le Rhône. Cette intégration est effective au 1er septembre 2011. (1188 élèves + 95 au Centre de formation)
  • 2012, ouverture d’un nouveau bâtiment sur Villefranche dédié au POST-BAC
  • 2013-2014, le CSND intègre à ses structures, l’école Notre Dame de Belleville dans le Rhône. Cette intégration est effective au 1er septembre 2014. (1700 élèves)